la complicité des deux protagonistes allège la culpabilité et la souffrance de la première et dédramatise les sentiments que pourrait ressentir le spectateur. Celui-ci sort de la salle, non pas encombré d’une histoire qui lui rappellerait une situation vaguement ou durement vécue, mais ému et bienveillant à l’égard de ceux qui souffrent de ce « problème de santé publique » si justement abordé.
https://www.dijonbeaunemag.fr/spectacle-grande-histoire-damour/
Le Rocher des Doms imagine une Phèdre, post-mortem, en proie à ses souvenirs et ses émotions, en quête d’une explication sur cette fatalité afin de pouvoir trouver enfin le repos.
https://www.bienpublic.com/loisirs/2012/05/25/phedre-en-quete-de-verite-a-salives-et-talant
« La priorité est de faire réfléchir les enfants et de leur apprendre à s’exprimer. À partir d’une consigne que je leur donne, les enfants inventent une petite histoire où ils sont un autre personnage que celui du quotidien. Puis ils jouent ce personnage et je les amène à appliquer les notions les plus courantes utilisées lorsqu’un acteur est sur scène face au public ».
https://www.bienpublic.com/grand-dijon/2012/03/07/impro-pour-les-jeunes-du-soutien-scolaire
Ils ont montré leur passion pour cet homme, en interprétant avec une verve inouïe les comportements humains décrits par cet auteur, mais aussi en prolongeant la scène théâtrale par une biographie de cet écrivain
