La Fille Bien Gardée d’Eugène LABICHE : représentation le 26 Mai 2021, 20h, théâtre de l’Ecrin, Talant

« J’ai choisi ce texte de Labiche car il répond complètement aux besoins de joie de nos contemporains. Par une quantité de jeux de scène (dont ceux proposés par Labiche), par le traitement des costumes, du décor, j’ai mis en évidence le côté farcesque de la pièce » (Sylvain MARMORAT, metteur en scène).

Un casting de choix : Lolita FRANCK (dans le rôle de la petite Berthe), Sylvain MARMORAT (metteur en scène, dans le rôle de Saint-Germain, chasseur de la baronne), Lison GOILLOT (dans le rôle de la baronne de Flasquemont), Adeline MONCAUT (dans le rôle de Marie, femme de chambre), Loïc GALENSKI (dans le rôle de Rocambole, carabinier) et Evelyne PEUDON (violoncelliste).

L’histoire est simple : un samedi soir, la Baronne de Flasquemont décide de sortir et confie sa fille Berthe à ses deux domestiques, Marie, sa femme de chambre ainsi que Saint-Germain, son chasseur. Après avoir réussi à endormir l’enfant, non sans mal, ces compères élaborent un stratagème pour se rendre au bal Mabille, situé juste sous leur fenêtre. C’est alors que débutent une succession de mésaventures.

« Ce qui m’intéresse au-delà de la farce, c’est le regard corrosif et lucide de Labiche sur la société et ses travers, ainsi que la noirceur de son humour et la férocité de ses portraits » (Sylvain MARMORAT, metteur en scène).

La Compagnie reprend ce spectacle, créé en 2016. Une représentation est d’ores et déjà programmée au théâtre de l’Ecrin à Talant, le Mercredi 26 Mai 2021 à 20h (15 euros tarif plein, tarif réduit 10 euros pour les moins de 18 ans et les séniors de + de 65 ans). Plus de renseignements via la rubrique calendrier du blog de la compagnie : http://www.lerocherdesdoms.org/calendrier (réservations à effectuer directement avec le Théâtre de l’Ecrin).

D’autres dates viendront en cours de route. Nous vous tiendrons au courant des avancées.

Nous terminerons cet article par une citation de l’écrivain Russe du XIXème siècle Fiodor Dostoïevski : « Vivre sans espoir, c’est cesser de vivre ». A très bientôt !

Clément PRIVOLT

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